Nous apprenons avec étonnement la signature de Clément Clavières à Narbonne alors que celui-ci avait émis, auprès du club, sa volonté d’arrêter sa carrière de rugbyman.
Nous apprenons aussi, dans des propos relayés par La Dépêche, que « les conditions n’étaient pas réunies pour qu’il s’épanouisse au sein du club ». Nous aurions ainsi bien aimé connaître les conditions qui ne convenaient pas au joueur plutôt que d’entendre des justifications qui, aujourd’hui, sont contredites. Peut-être, sur la base de la franchise et la sincérité, aurions-nous pu chercher des solutions ensemble.
Quelles que soient les réelles motivations de Clément Clavières, ce n’est pas notre vision de l’engagement. Et un petit coup de téléphone de courtoisie au moment de reprendre sa carrière aurait été apprécié.